D'après la 7ème édition sur la santé des étudiants réalisée par l'institut CSA pour l'Union nationale des mutuelles étudiantes régionales (USEM), le foyer familial permettrait de maintenir le lien avec le système de santé. Accès aux soins ou conduites à risques, il semble être ce qu'il y a de mieux pour leur santé.
Intervenu récemment, le vote de l'article 22 de la proposition de loi qui modifie certaines dispositions de la loi « Hôpital, patients, santé et territoires » va permettre aux mutuelles d'améliorer leurs prestations dans le cas où l'assuré choisit un professionnel de santé avec lequel un conventionnement a été conclu.
Ça n'est pas demain mais tout de même. D'après la dernière édition du rapport annuel des administrateurs de la sécurité sociale américaine, le programme hospitalier du Medicare, assurance santé des aînés américains gérée par le gouvernement, sera dans l'impossibilité de rembourser ses bénéficiaires à 100 % dès 2024.
L'an dernier, un médecin sur quatre travaillait en secteur 2, « secteur conventionné à honoraires libres » où les tarifs sont libres et fixés par le praticien avec « tact et mesure » si l'on en croit l'Assurance maladie. Pourtant, le dépassement moyen est passé de 25 % à 54 % du tarif opposable entre 1990 et 2010, soit 2,5 milliards d'euros.
Ostéopathie, liposuccion ou encore rhinoplastie, les opérations de confort et les médecines parallèles sont désormais remboursées par certaines assurances santé désireuses de se positionner. Coup de projecteur sur ces alternatives médicales qui tendent à se démocratiser auprès du grand public français.
Ils représentent 8 % de la population nationale et sont à l'origine de près de 20 % des dépenses de santé. De qui s'agit-il ? Des seniors âgés de plus de 75 ans. Il faut dire aussi que cette frange de la population française est plus confrontée que la moyenne de ses compatriotes à certaines pathologies lourdes.
Depuis le 2 mai dernier, les médicaments à vignette bleue sont moins bien remboursés. Ainsi, depuis cette date, ce sont plus d'un millier de médicaments qui sont remboursés à 30 % contre 35 % auparavant. Découvrez aujourd'hui le taux de remboursement des médicaments aux vignettes orange, blanche et bleue.
Il y a quelques jours, Etienne Caniard, président de la Mutualité française, a déclaré devant l'Association des Journalistes de l'Information Sociale (AJIS) à propos des dépassements d'honoraires dans l'hôpital public : « Ce sont les plus importants en niveau et ils servent de plus en plus de coupe-files. Ce n'est pas admissible. »
Si l'on en croit une étude européenne récemment dévoilée et diligentée par l'Assurance maladie, la consommation de médicaments a enregistré un recul de 1 % par an en moyenne dans l'Hexagone entre 2006 et 2009. Malgré tout, la France demeure dans le peloton de tête de la consommation de médicaments.
Ce qui devait arriver s'est produit. Depuis le 2 mai, les médicaments arborant une vignette bleue sur leur emballage sont moins bien remboursés. Très concrètement, depuis cette date, plus d'un millier de ces médicaments ne sont plus remboursés qu'à 30 % contre 35 % auparavant. La raison ? Un intérêt thérapeutique modéré.
Vendredi 29 avril. La Commission européenne a annoncé que les médicaments traditionnels à base de plante disponibles sur le marché de l'Union européenne à compter du 1er mai seraient plus sûrs et efficaces. Car, seuls les médicaments autorisés ou enregistrés par les fabricants seront alors mis sur le marché de l'Union.
Le numéro d'avril de DSIH, magazine d'information des systèmes d'information hospitalier, fait rebondir le débat sur la vente en ligne de médicaments. Nora Berra, secrétaire d'État chargée de la Santé, y fait effectivement allusion à la réflexion d'un groupe de travail sous l'égide de la Direction générale de la Santé (DGS).
Vingt-cinq compagnies d'assurance ont conclu un partenariat avec Happyview.fr, premier opticien de la toile agréé par la Sécurité sociale. Une excellente opération pour leurs assurés puisque le site affiche des prix bien moins importants que les opticiens traditionnels. Une bonne affaire aussi pour les assureurs qui auront moins à rembourser.
Fin mars. Didier Jambart, malade suivant un traitement à base de l'antiparkinson Requip, était parvenu à faire condamner en premier instance GSK, fabriquant du médicament incriminé. L'on sait désormais que le laboratoire a décidé d'interjeter appel. Rendez-vous est pris devant la Cour d'appel de Rennes.
Selon un rapport établi par l'assurance maladie, les zones déficitaires en médecins ont bénéficié de l'apport net de 50 praticiens. Un chiffre qui prouve que, malgré les incitations, ces « déserts médicaux » peinent à séduire les médecins. Pourtant, ils peuvent voir leurs honoraires majorés de 20 %.
Nouvel épisode de l'affaire Mediator : des patients varois ont décidé de poursuivre leurs médecins en justice. Le motif ? Le refus des praticiens de communiquer le dossier médical de ces patients à l'expert judiciaire chargé d'établir si les maux dont ils souffrent résultent ou non de la prise du Mediator.
Le mercredi 6 avril, le Journal Officiel renfermait une liste fort longue de médicaments. Les 1 219 produits qui s'y trouvent verront à partir du 2 mai prochain leur taux de remboursement diminuer et passer de 35 à 30 %. Tous ces médicaments, sans exception, arborent la fameuse vignette bleue, signe d'un service médical modéré.
La taxe sur les feuilles de soins n'aura pas fait long feu. Instaurée en début d'année pour inciter les praticiens à renoncer au papier, cette taxe de 50 centimes d'euros a été purement et simplement annulée par le Conseil d'Etat. Un camouflet pour l'Assurance maladie qui souhaitait faire des économies.
Première de la classe en France, l'Assurance maladie de Bourgogne a dévoilé ses derniers chiffres et statistiques. On apprend ainsi qu'elle a économisé 12 millions d'euros de dépenses de santé en 2010. Seule ombre au tableau, les arrêts de travail qui ont coûté la bagatelle de 227 millions d'euros.
Au pays de l'oncle Sam, le vol d'identité médicale constitue une menace bien réelle. Que ce soit dans le but d'obtenir des soins médicaux ou pour être revendu sur un marché parallèle, le vol de documents d'identification médicale profite des failles d'un système très fragmenté où interviennent de multiples acteurs.