12 juin 2011. Une date que ne sont sans doute pas prêts d'oublier des apprentis motards de 6 à 14 ans. C'est effectivement ce jour-là que le Naucelle Moto Sport avait choisi pour sa nouvelle journée entièrement consacrée aux enfants adeptes de deux-roues, scooters ou motos.
C'est l'une des premières conséquences visibles du Comité Interministériel de la Sécurité Routière (CISR) qui a eu lieu le 11 mai dernier : les professionnels de l'équipement pour deux-roues ont rencontré hier le gouvernement pour discuter des mesures qui s'imposeront bientôt aux utilisateurs de deux-roues.
« Mix Ta Route », késako ? Si cette expression aux accents de discothèque ne vous dit rien, sachez qu'il s'agit là d'une opération de prévention dont l'objectif est de sensibiliser les jeunes grâce au secours de la musique. Initiative de GEMA Prévention, elle revient cette année pour sa deuxième édition.
Si l'on en croit une étude récente, les entreprises rechignent à embaucher une conductrice de deux-roues. Sur 300 annonces pour des postes ouverts aux Bac+5, le taux de réponses positives atteint 12 % pour les femmes qui utilisent les transports publics et dégringole à 7 % pour les amatrices de deux-roues.
Cette année encore, « Faites de la moto » a égayé les rues du Puy-en-Velay, commune située en région Auvergne. Porté par la Fédération Française des Motards en Colère (FFMC), l'événement souhaite une fois encore faire mieux connaître les motards. Pour en finir avec les préjugés et incompréhensions.
Aux quatre coins du pays, les usagers de la route - essentiellement, des amateurs de deux-roues - se sont réunis le 18 juin en réaction aux mesures jugées trop répressives et formulées par le gouvernement en réaction aux mauvais chiffres de la Sécurité routière. Partout, ce fut un concerto de klaxons et slogans.
Il fait beau - presque - partout en France et les deux-roues sont de sortie. C'est en toute logique que la Sécurité routière a choisi la saison du cyclo et de la moto pour lancer une campagne de sensibilisation dédiée à la problématique du débridage. Une pratique dangereuse que l'assurance moto ne couvre pas forcément en cas d'accident.
À Méjannes le Clap, commune blottie dans la vallée de la Cèze, Thierry Autissier, quadruple champion de France et pilote émérite, a établi son école. Au programme de cet établissement de pilotage ? Tout ce qu'il faut pour dompter motos et quads mais aussi préparer le BSR.
Elémentaire et pourtant ! Pour protéger son deux-roues du vol, il faut commencer par le début, à savoir souscrire une assurance moto pour espérer faire face à toute éventualité. Mais, la souscription d'une assurance ne fait pas tout !
Parmi les amateurs de deux-roues, certains ont un faible pour les cylindrées antiques. Malgré leur kilométrage, ces vieilles gloires du bitume peuvent toujours rouler et doivent donc être assurées. Coup de projecteur sur l'assurance moto de collection.
Direction le Nord pour y rencontrer Vincent Evrard ! Président du Moto Club Red Zone de Calais, ce motard expérimenté se fait aussi chantre de la prévention routière. Une contribution bienvenue à l'heure où les chiffres de la Sécurité routière sont préoccupants pour les conducteurs de deux-roues.
Comme d'autre domaine ou activité, le deux-roues n'est plus la chasse gardée des hommes ! L'on recense en effet de plus en plus de femmes adeptes de la conduite motocycliste. Corrélativement, l'on note l'existence d'une offre adaptée à ce nouveau public, qu'il s'agisse de cylindrées plus maniables ou d'équipements moins masculins.
L'assurance moto se trouve une place sur Facebook grâce à AMT Assurances, acteur tourangeau de l'assurance. Plus proche des motards et potentiels clients, l'assureur rompt avec l'image traditionnelle de son secteur d'activité.
Deux méthodes, un même objectif. Alors qu'il fait (presque) beau partout en France, les motos sortent des garages et les risques d'accidents augmentent. Pour éviter que davantage de motards ne viennent gonfler les statistiques de la Sécurité routière, les forces de l'ordre mêlent répression et prévention.
BSR ? ASSR ? Sous ces acronymes hermétiques à toute logique se cachent le brevet de sécurité routière (BSR) et l'attestation scolaire de sécurité routière (l'ASSR), deux diplômes décernées à nos chères têtes blondes et qui sanctionnent des connaissances en matière de conduite motocycliste.
Fort appréciés par les plus jeunes d'entre nous, les deux-roues appellent une prévention sans cesse renouvelée. Pourquoi ? En raison de la particulière vulnérabilité du motocycliste et de la désinvolture relative de ce jeune public. On ne s'étonnera donc pas de voir fleurir avec les beaux jours les opérations de prévention.
À l'image de l'assurance auto, l'assurance moto renferme à titre principal une garantie responsabilité civile complétée par des garanties optionnelles. A minima, la loi impose de disposer d'une garantie responsabilité civile pour être en mesure de réparer les dommages causés aux biens et aux tiers en cas d'accident de la route.
En vigueur depuis le 1er janvier 2011, la formation de 7 heures obligatoire pour les conducteurs néophytes de deux-roues continue de se préciser. Figurant au catalogue des actions préventives de la Sécurité routière, cette formation doit permettre aux nouveaux motards de se familiariser à la conduite motocycliste.
Se déplaçant, cheveux au vent, au guidon de sa trottinette, Eric, jeune lycéen niçois de 19 ans, ne s'attendait pas à la déconvenue qui lui est tombée dessus. Il remontait le boulevard Delfino, en sens inverse et sur le trottoir, quand un policier lui a annoncé que c'était interdit car sa trottinette était motorisée...
Apparemment, la Sécurité routière a modifié en catimini certains passages de l'arrêté d'application relatif aux modalités de mise en œuvre de la formation de sept heures obligatoire pour les titulaires d'un permis B désireux d'acheter un deux-roues 125 cm3 ou un trois-roues de la même puissance voire plus.